La base est de s’assurer de sa bonne filtration. L’eau du robinet est dite « potable » selon les normes. Certes, en France, l’eau reçoit un traitement de base notamment anti bactérien pour l’ensemble de l’eau qui sert à tous les usages, la boisson comme les toilettes.
La limite des normes
L’actualité nous montre qu’au delà des normes ( recherche d’une soixantaine de paramétres et de molécules indésirables ), il y a des milliers de molécules chimiques qui ont reçu une homologation tout en étant plus ou moins toxiques et que l’on retrouvent dans les produits phyto sanitaires, médicaments. Toutes ces molécules peuvent se retrouver dans les nappes phréatiques et dans le circuit de l’eau y compris dans l’eau en bouteille pour certaines. Bien qu’à dose infime, ces doses de polluants et d’éléments incontrôlés s’additionnent doucement mais sûrement dans les 60 000 l d’eau que nous buvons durant toute notre vie. Cet effet coktail dans l’eau est un facteur de stress oxydatif et de vieillissement.
Ainsi la qualité de l’eau que nous buvons est un facteur de notre santé.
Une solution : une filtration complémentaire de l’eau de boisson à des niveaux différents.
Nous avons connu les filtres de base comme les carafes B..a. Cela a été une solution de base à condition de changer très régulièrement les filtres pour qu’ils ne relarguent pas les polluants arrêtés. Elle offre l’avantage de voir l’odeur de chlore s’estomper.
Une expérience de plus de 20 ans à vous partager
Comme beaucoup, nous l’avons utilisé au début avec ma compagne. Confrontée comme de plus en plus de personnes à une hypersensibilité et à des troubles ( formes de fibromyalgie, maladie de Lyme…), sa volonté de surmonter les douleurs et inconvénients nous a poussés a plus d’exigence dans ce que nous offrons à notre corps comme eau et nous avons testé un certain nombre de procédés depuis plus de 20 ans.
Les recherches et les techniques évoluent et aujourd’hui nous disposons de solutions qui ont contribué à notre mieux être. Nous les partageons et les faisons volontiers connaître car elles ont soulagé le quotidien de mon amie et j’en ai le bénéfice à 71 ans.
